Mon roi
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Avec Cédric et Morgane nous décryptons le film « Mon roi » de Meïwenn.
Le pervers narcissique, comment le définir, comment s’en protéger. L’amour fait du bien et pas l’inverse.
Bonne écoute…
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Si vous les avez manquées :
Lionel
Bonsoir.
Merci pour vos émissions et celle-ci en particulier.
Il y a bientôt 30 ans, j’ai rencontré un pervers narcissique. Je suis gay. J’étais la victime idéale, n’ayant par exemple pas fait mon coming out et étant du genre solitaire. Vincent Cassel joue très bien le personnage, j’ai retrouvé mon « boureau ».
En revanche, j’ai une autre lecture de la dernière scène du film : pour moi, Tony observe Giorgio pour mieux se distancier, mesurer l’effet qu’il produit (y compris en cors sur elle), mais en étant sur ses garde. Elle le met dans un bocal, comme un serpent venimeux.
J’ai vécu cet instant en rendant visite à mon bureau sur son lieu de travail, après 2 ans sans contact (j’avais mis 600 km entre nous). J’ai eu droit au « grand jeu » et même à être raccompagné dans la rue…
Le film m’a fasciné.
Je réitère mon merci car grâce à vous, je peux écrire, et je dirai maintenant (je viens d’avoir 60 piges), il y a 30 ans, j’ai été victime d’un pervers narcissique. Dorénavant, j’assume.
Merci.
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